Les Grandes Écuries |
Ce
matin, il faisait 9° C à Senlis et il pleuvait. On se rend au Château de Chantilly à quelques kilomètres d’ici et on espère une éclaircie. Il n’y en a
pas eue, de l’ouverture des portes à 10 h jusqu’à notre renoncement de
poursuivre la visite à 15h30. Trop, c’est trop !
Le
parapluie en guise de bouclier, les pieds mouillés jusqu’aux genoux, l’échine
grelottante, on n’en peut plus. Dommage, car la visite des jardins dessinés par
André Le Nôtre, celui-là même qui fut le jardinier de Louis XIV à Versailles,
était notre but principal. Les terrasses sont magnifiques vues de l’intérieur.
On
devait également assister à un spectacle équestre formidable dans les Grandes
Écuries. Un malheur ne venant jamais seul, disait ma mère, aujourd’hui, on
présentait plutôt un cours de base de dressage de chevaux. Les écuyères étaient
très jolies, c’est à peu près tout ce qu’il y a à retenir.
On
revient donc à l’Hostellerie de la Porte Bellon pour mettre de l’ordre dans les
valises avant le grand départ (je n’aime pas beaucoup cette expression surtout avant de prendre l'avion !!). On ira manger au restaurant Le Scaramouche vers 19 h 30. En attendant, on prend
l’apéro assis sur le bord du lit pendant que, misère, Galarneau fait une
apparition resplendissante dans un ciel intensément bleu ! Offrez ça au p’tit
Jésus, aurait également dit ma mère !
Belle
nouvelle, Marijo sera à l’aéroport pour nous ramener à la maison.